Een voorproefje van Wifty’s najaar? Ja, graag! Want september doet toch iets met je… Moeilijk te beschrijven: het einde van de zomervakantie, het begin van het najaar… en hey, knipoogt daar plots in de verte Kerst & Nieuw?
Alweer een mooie zomer voorbij waarvan je dacht dat er geen einde aan zou komen. Niet dat we niet van september houden, niets mooier dan zo’n Indian Summer, of zoals Joe Dassin zo mooi zong: L’été Indien. Het wordt al vroeger donker, het zonlicht verzacht, de bomen veranderen stilletjes van kleur en we kijken al uit naar die streelzachte winterdekentjes.
Maar niet te snel onder een dekentje kruipen! Want Wifty heeft een heleboel plannen voor het najaar, hier alvast een voorproefje:
- Een nieuwe We Are Wifty campagne.
- Introductie van We Are Mifty, abfab 50+ mannen!
- Wifty’s Menopauze Feestje n°2 op 18/10.
- Wifty Party n°9 op 25/11.
- Maandelijks een Wifty Brunch With Benefits.
- Wifty Ballet Class
- Kiss me Slow: dansavonden voor singles mét kuskesdans én slows.
Binnenkort lees je hier alle details!
We maken er een zalig najaar van, vol Wifty deugnieterij! ❤
Foto: Evert Thiry
De tekst van L’été Indien om lekker luid mee te zingen:
Tu sais, je n’ai jamais été aussi heureux que ce matin-là
nous marchions sur une plage un peu comme celle-ci
c’était l’automne, un automne où il faisait beau
une saison qui n’existe que dans le Nord de l’Amérique
Là-bas on l’appelle l’été indien
mais c’était tout simplement le nôtre
avec ta robe blonde tu ressemblais
à une aquarelle de Marie Laurencin
et je me souviens, je me souviens très bien
de ce que je t’ai dit ce matin-là
il y a un an, y a un siècle, y a une éternité
on ira où tu voudras, quand tu voudras
et on s’aimera encore, lorsque l’amour sera mort
toute la vie sera pareille à ce matin
aux couleurs de l’été indien
aujourd’hui je suis très loin de ce matin d’automne
mais c’est comme si j’y étais
je pense à toi
où es tu?
que fais-tu?
est-ce que j’existe encore pour toi?
je regarde cette vague qui n’atteindra jamais la dune
tu vois, comme elle je reviens en arrière
comme elle, je me couche sur le sable
et je me souviens
je me souviens des marées hautes
du soleil et du bonheur qui passaient sur la mer
il y a une éternité, un siècle, il y a un an
on ira où tu voudras, quand tu voudras
et on s’aimera encore, lorsque l’amour sera mort
toute la vie sera pareille à ce matin
aux couleurs de l’été indien